logo du site

N°1

Artisans à proximité

1000 colonnes

Tatoo look

restaurant La petite Agerola rue des marchands

La petite agerola

N1  Boulangerie Albissier

« On passait la porte de ce petit commerce pour y acheter son pain.

Baguette, boule, épis, fougasse, de campagne, aux graines, aux olives.

L’odeur de leur croûte dorée emplissait le quartier dès l’aube.

L’artisan boulanger était le premier à œuvrer, au milieu de la nuit, il confectionnait les précieuses baguettes.

Baguette française de tradition

Saveur unique de la mie et de la croûte

Cinq heures de préparation

Imaginez le bon casse croûte

Blés sélectionnés avec passion

Offre une farine parfaite

Pétrissage et fermentation

Du bonheur près de l’assiette. »

Poésie M.B

Maison Vintimille

le premier bistrot Dracenois.

Les premiers possesseurs connus se nomment les Tulle, au XVIème siècle.

Notaires, procureurs, mais aussi peaussiers, cordonniers, sur 3 générations.

Puis, André Fabre, bourgeois, devenu par alliance propriétaire de cette maison en 1640, en fit appareiller la façade en pierre de taille, telle qu’on peut encore la voir.

Jean de Sassy-Villehaute, avocat du Roi, y entra comme gendre.

Emmanuel-André de Sassy, de l’ordre de Malte, fils aîné de Jean, enleva Nanon de Maynier, la fille du seigneur du Revest de Roquebrune. Il fut relevé de ses vœux et épousa Nanon en 1860. Son frère, François, fut le quatrième et dernier avocat du Roi de la famille de Sassy, qui avait conservé la charge 143 ans.

S’il est vrai que Marguerite Roque, dite Teissier, tint ici boutique en 1748, et y débitait du vin « à pots et à pintes », nous sommes alors en présence du site du plus ancien bistrot Dracénois.

Melchior de Sassy-Villehaute, bourgeois, épousa sa cousine Sassy. 

Il devint Maire de Draguignan en 1767, une année où le gel et la sécheresse entraînèrent disette et hausse de prix.

Sources: Fréderic Mireur, « Les rues de Draguignan et leurs maisons historiques ».